Compte-rendu du CHSCTD du 25 novembre 2022
Parmi les points abordés
Choix des visites des établissements pour l’année 2022-2023 :
1. Lycée Matisse de Vence, sur le thème du bâti, en début d’année 2023.
2. École bon voyage maternelle à Nice pour voir comment se passe l’accueil des élèves de l’aquarelle qui a été fermée. Mars-avril
3. Les Campelières en mai-juin
Point sur la crise Ukrainienne :
Stabilisation relative des chiffres (légère hausse encore) : 1366 élèves : 246 en maternelle ; 496 en élémentaire ; 440 en collège et 184 en lycée.
Le DASEN indique réclamer des dotations à l’administration central. On a 12 UPE2A en collège, et 7 postes classes, plus un poste ouvert pour renforcer le CASNAV
On a encore ouvert des UPE2A aux vacances de la Toussaint. Ces moyens provisoires seront certainement reconduits à la rentrée prochaine. L’IA a été autorisé à dépasser notre plafond d’emploi.
Si on a des arrivées en cours d’année, on ouvrira encore.
Questionnaire ambiance thermique :
Un questionnaire sur l’ambiance thermique est en court d’élaboration, presque finalisé. Il sera diffusé à l’ensemble des personnels en janvier pour une analyse des réponses en février-mars.
Question diverses: protocole sur la gestion des élèves hautement perturbateurs.
M. Chapéron présente le protocole, plutôt premier degré, mais qui peut être valable pour le second degré.
Un document a déjà été diffusé aux IEN, et des réunions de directeur⋅rices ont été faites.
3 niveaux :
- Niveau 1 : appel aux ressources disponibles, rappel des différentes possibilités et des différents dispositif existants au sein de l’école.
- Niveau 2 : Intervention EMAS (Équipe mobile d’appui à la scolarisation), prévue au départ uniquement pour les élèves notifié⋅es par la MDPH, mais intervient aussi dans d’autres situations.
- Niveau 3 : mise en place d’un PAG (plan d’accompagnement globalisé). EMMIS : équipe mobile mixte d’intervention scolaire (équipe constitué de membres d’ITEP).
Mme la Secrétaire Générale propose la mise en place d’un GT sur le sujet.
La réunion se termine par une longue discussion sur le manque de moyen en AESH, un grand nombre d’enfants non accompagné⋅es, avec une perspective sombre car il n’y a pas de recrutement prévu. La situation de détresse de certain⋅es enseignant⋅es, de plus en plus nombreux⋅ses, est signalée. Mme la Secrétaire Générale précise qu’elle en a bien conscience, mais, malgré un discours institutionnel se voulant rassurant, c’est un sentiment d’impuissance qui se dégage de sa réponse.