préalable de la Cgt-Educ’Action au CDEN du 4
février
11
819 : c’est le nombre d’emplois
créés dans les 1er
et 2nd degrés depuis le début du quinquennat.
Qui, dans cette
instance, pense que la promesse des 60 000 postes sera tenue ?
Dialogue
social : c’est ce qu’on nous vend à
chaque instant, à
chaque instance, dans chaque commission permanente, chaque CA
empilés
à la hâte.
Quantitatif :
c’est ce qu’on nous vend à coups de P/E
théorique, d’équation à 5
quintiles, de ‘Qui nous dit que des famlles avec enfants arriveront
sur ces logements sociaux ? »
Dotations
positives : heureusement, mais tellement
insuffisantes pour
refonder l’école.
Education
prioritaire : si les effectifs ne sont pas
drastiquement
baissés, comment lutter contre les
inégalités scolaires, sociales,
économiques, territoriales ? Des parents, des
équipes veulent
plus d’ouvertures et le font savoir. Des parents, des
équipes
refusent une fermeture de classe et ne feront pas la rentrée
de
février, si leur situation n’avance pas.
Ruralités,
montagnes : c’est la question du maintien du service
public
qui est posée avec son corollaire du maintien de postes.
Qualitatif :
RASED, remplacement, M+, – de 3 ans, c’est toujours pour
« après
après ».
Réforme
du collège : tout va bien. Elle est
rejetée par les
personnels qui sont descendus dans la rue le 26 janvier mais
décidément, le gouvernement est autiste. La CGT
Educ’Action demande
l’abrogation de cette réforme.
Souffrance :
c’est celle des personnels, enseignant et non enseignant. C’est la
précarisation des emplois de plus en plus jetables. Ce sont
des
conditions de travail inacceptables dans certains
établissements.
Résistance,
engagement, responsabilité : c’est comme
cela qu’au nom de
la CGT Educ’Action, je terminerai cette déclaration.