Compte rendu du Groupe de Travail de ce
jeudi 15 décembre
Le groupe
de travail qui s’est tenu ce 15 décembre avait pour ordre du
jour:
- la
validation de la carte des circonscriptions 2017 - l’étude
du rééquilibrage des personnels RASED - Les
mesures de cartes impactant les postes de remplacement
Ce dernier point
fera l’objet d’un GT spécifique (ZIL/BD/TRS) le 31 janvier prochain.
Quant aux deux premiers points,
la CGT Educ’Action a réaffirmé avec force son
refus d’une vision strictement quantitative s’agissant d’une part de la
refonte de certaines circonscriptions (ses objections faites contre
l’éventualité de regrouper le REP de Duruy et le
REP+ de Nucéra ont été entendues par
l’administration) et d’autres part son refus aussi du
redéploiement à moyens constants des postes E et
G du département.
L’administration
dans son analyse sèchement quantitative (même si
elle a introduit le critère de pondération
inhérent à l’éducation prioritaire) a
été renvoyée à ses calculs
par un front intersyndical, déterminé quant
à l’affirmation de créer des postes et non
déshabiller l’un pour habiller l’autre.
Au-delà
du discours sur l’équité
départementale versus chiffres, la
CGT Educ’Action a mis en avant la nécessité de
commencer le prochain Comité technique « Carte scolaire » par
l’ouverture franche, ambitieuse de postes RASED. Au sortir
de la réunion, ces ouvertures nécessaires
sont de l’ordre de 9 ou 10. Avec l’intégration
d’un autre critère de pondération, celui de la
ruralité.
Et encore,
s’il fallait ouvrir à hauteur des besoins
« calculés » par l’administration, il faudrait une dotation de
16 postes. C’est pourquoi, il a été aussi
demandé à l’administration de programmer sur au
moins deux ans, cette vision qualitative relative à l’aide
apportée aux élèves connaissant des
difficultés scolaires.
Pour la CGT
Educ’Action, faire appel à l’équité
pour faire passer la pilule d’un politique « à moyens
constants » n’est pas entendable