Cgt
Educ’Action des AM
CAPD
du 25 Mai 2016
Déclaration
préalable CAPD du 25 mai 2016
Cette Commission
Administrative
Paritaire se déroule au moment à la France
connait un mouvement
social sans précédent depuis plus de 10 ans. Il
serait
donc Difficile de ne pas en faire état aujourd’hui.
La
Cgt-Educ’Action réaffirme son opposition totale et
déterminée à
la Loi Travail. Nous continuerons avec notre
Confédération à
chercher tous les moyens d’action pour que cette Loi
illégitime,
imposée contre l’avis de la majorité de
la population et de
l’immense majorité des salarié-es,
précaires et privé-es
d’emploi.
Nous
apportons notre soutien à tous-tes les salarié-es
qui s’engagent
dans des grèves inscrites dans la durée
(Transports routiers,
Cheminots, Pétrochimie…), ou dans des
opérations de blocages. Ne
nous trompons pas, ce n’est pas seulement leurs
intérêts
qu’ils-elles défendent, mais bien ceux de tous-tes.
Pour
en
revenir à cette CAPD, la Cgt-Educ’Action tient à
remercier les
personnels de la DIPE pour
le travail fourni pour préparer le projet
d’affectation 2016.
Reste que ce
mouvement n’améliore
pas sensiblement la situation de centaines de jeunes
collègues qui
restent sans affectation. Le blocage des postes entiers pour les
Professeur-es stagiaires explique en grande parie cette situation.
Les choix faits en matière de formation initiale se font au
détriment des conditions de travail des personnels.
Concernant
les autres points à l’Ordre du Jour, nous ne pouvons que
déplorer
comme chaque année le peu de moyens octroyés pour
permettre le
départ en congé de formation de PE.
Finalement, Nous
avons
demandé que soit inscrite à l’ODJ de cette CAPD
la situation des
demandes de temps partiels et nous interviendrons sur ce sujet
à ce
moment là. Nous tenons cependant, à l’occasion de
cette
déclaration, à protester contre votre refus
d’adresser la liste des
personnels qui sollicitent un temps
partiel. Nous
ressentons ce refus comme une volonté d’entraver le
travail des
organisations syndicales et des élu-es du personnel et nous
le
déplorons.