Fini de faire la cigale…

J’ai arrêté le sucre dans le café. C’est bon pour la ligne et pour le porte-monnaie. Encore un effort, pour ressembler à la fourmi.

La fabrique du renoncement est bien huilée.

La bonne vieille technique de la peur porte toujours ses fruits. Ajoutez-y une pincée de culpabilité, pour faire avaler n’importe quel sacrifice.
Travailler un jour en plus, pour financer la dépendance. Se serrer la ceinture, pour relancer la compétitivité. Reculer l’âge de départ en retraite, pour éviter la faillite du système…

Jouer sur les peurs pour préserver les intérêts du capital.

En choisissant de faire porter sur chaque individu l’avenir du pays, le gouvernement et le patronat se dégagent de toutes responsabilités et favorisent les intérêts du capital.
Ainsi, cette semaine, la Première ministre a promis un bouclier tarifaire pendant que d’autres prospèrent sur les dysfonctionnements du marché de l’énergie et accumulent les surperprofits.

Du renoncement à la mobilisation

Alors que le président envisage coûte que coûte d’achever la casse de notre système de protection sociale, les militants CGT sont sur le terrain. Ils vont à la rencontre des salariés pour dénoncer ces choix, pointer les contradictions et proposer d’autres solutions.
Une démarche collective incontournable pour répondre aux urgences sociales et environnementales, pour convaincre les salarié·e·s de se mobiliser les 22, 29 septembre et après.

Nice manifestation unitaire

Promenade des Anglais (Jardin Albert 1er) à 10H00